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Comédie fantaisiste
1977. Réalisation: Carl Reiner. Avec: John Denver, George Burns, Teri Garr et Paul Sorvino. Scénario: Larry Gelbart. Couleur/1h38.
Jerry (Denver) reçoit une mystérieuse lettre par la poste qui l'invite à se faire interviewer par Dieu. En croyant que ce n'est qu'une blague, il jette cette lettre aux ordures mais lorsqu'elle réapparaît sans cesse, Jerry décide de faire cette étrange rencontre. Au début, il est seulement capable de communiquer avec Dieu via une petite radio dans un édifice, mais il finit enfin par rencontrer le Tout-Puissant en personne (Dieu est interprété par le charmant George Burns). Dieu a choisi Jerry pour répandre sa bonne nouvelle au monde entier.
Le synopsis semble farfelu au max mais ce vieux classique est irrésistiblement amusant sans être satirique, moralisateur ou teinté d'humour noir. Dans la tradition des vielles fantaisies de Frank Capra, Oh God a quelques moments de tendresse. Le protagoniste Jerry, qui n'est pas très religieux de nature, a de la difficulté à accepter sa nouvelle situation (Dieu le suit partout ou il va, même dans la salle de bains!), et sa femme pense qu'il a perdu la tête. Sa transformation graduelle est charmante et remplie de situations bouffonnes. Paul Sorvino joue très bien le rôle du pasteur corrompu qui devient la cible des critiques négatives de Dieu.
John Denver, le célèbre chanteur de Rocky Mountain High et Sunshine on my Shoulders, est surprenant dans son premier film. Il avait joué de petits rôles dans des séries télévisées comme Owen Marshall, Counselor at Law et McCloud au début des années 70, et il joue Jerry avec un charme candide et sympathique. Oh, God ne battra pas de records et ne sera pas dans ma liste de films préférés, mais c'est une bonne petite comédie inoffensive qui peut plaire aux cinéphiles qui aiment l'humour léger peu importe leur religion ou croyances.
Affiche du film
Bande-annonce (sur Internet Movie Database)
1977. Réalisation: Carl Reiner. Avec: John Denver, George Burns, Teri Garr et Paul Sorvino. Scénario: Larry Gelbart. Couleur/1h38.
Jerry (Denver) reçoit une mystérieuse lettre par la poste qui l'invite à se faire interviewer par Dieu. En croyant que ce n'est qu'une blague, il jette cette lettre aux ordures mais lorsqu'elle réapparaît sans cesse, Jerry décide de faire cette étrange rencontre. Au début, il est seulement capable de communiquer avec Dieu via une petite radio dans un édifice, mais il finit enfin par rencontrer le Tout-Puissant en personne (Dieu est interprété par le charmant George Burns). Dieu a choisi Jerry pour répandre sa bonne nouvelle au monde entier.
Le synopsis semble farfelu au max mais ce vieux classique est irrésistiblement amusant sans être satirique, moralisateur ou teinté d'humour noir. Dans la tradition des vielles fantaisies de Frank Capra, Oh God a quelques moments de tendresse. Le protagoniste Jerry, qui n'est pas très religieux de nature, a de la difficulté à accepter sa nouvelle situation (Dieu le suit partout ou il va, même dans la salle de bains!), et sa femme pense qu'il a perdu la tête. Sa transformation graduelle est charmante et remplie de situations bouffonnes. Paul Sorvino joue très bien le rôle du pasteur corrompu qui devient la cible des critiques négatives de Dieu.
John Denver, le célèbre chanteur de Rocky Mountain High et Sunshine on my Shoulders, est surprenant dans son premier film. Il avait joué de petits rôles dans des séries télévisées comme Owen Marshall, Counselor at Law et McCloud au début des années 70, et il joue Jerry avec un charme candide et sympathique. Oh, God ne battra pas de records et ne sera pas dans ma liste de films préférés, mais c'est une bonne petite comédie inoffensive qui peut plaire aux cinéphiles qui aiment l'humour léger peu importe leur religion ou croyances.
Affiche du film
Bande-annonce (sur Internet Movie Database)