(MAINTENANT OU JAMAIS)
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Comédie dramatique
2007. Réalisation: Rob Reiner. Avec: Jack Nicholson, Morgan Freeman, Sean Hayes et Beverly Todd. Scénario: Justin Zackham. Couleur/1h38.
Un mécanicien sympathique (Freeman) et un millionnaire caustique (Nicholson), tous les deux atteints du cancer, décident de s'évader de l'hôpital où ils reçoivent leur traitement et voyager autour du monde. Leur objectif: vivre toutes les aventures dont ils ont toujours rêvé pendant qu'ils ont encore le temps.
Le synopsis semble terriblement mélodramatique pour une comédie, j'en suis certain, mais l'humour mordant et contagieux de Nicholson ainsi que le charme habituel de Freeman donnent vie à cette histoire triste et parfois optimiste. Le dialogue manque un peu de spontanéité et les conversations philosophiques entre les deux protagonistes deviennent parfois ennuyantes. De plus, il est invraisemblable que deux hommes âgés atteints du cancer puissent avoir autant d'énergie pendant leurs voyages. La fin est touchante mais va un peu trop loin dans la sensiblerie, et la narration n'est pas vraiment nécessaire.
Malgré ces défauts, j'ai quand même aimé la mise en scène énergique de Rob Reiner et les deux vedettes s'amusent évidemment dans leurs rôles. La chimie entre Freeman et Nicholson est crédible jusqu'à la fin. Beverly Todd force l'admiration dans le rôle de la femme du mécanicien, qui est furieuse que son mari ignore ses traitements afin de poursuivre ses rêves «invraisemblables». Ne vous attendez pas à un film réaliste; plusieurs critiques ont même déploré le fait que le cancer semble si banal dans The Bucket List. Mais n'oublions pas que c'est un projet purement hollywoodien, et le message de rédemption et de paix intérieure peut émouvoir malgré les touches prétentieuses.
Affiche du film
Bande-annonce (sur Internet Movie Database)
2007. Réalisation: Rob Reiner. Avec: Jack Nicholson, Morgan Freeman, Sean Hayes et Beverly Todd. Scénario: Justin Zackham. Couleur/1h38.
Un mécanicien sympathique (Freeman) et un millionnaire caustique (Nicholson), tous les deux atteints du cancer, décident de s'évader de l'hôpital où ils reçoivent leur traitement et voyager autour du monde. Leur objectif: vivre toutes les aventures dont ils ont toujours rêvé pendant qu'ils ont encore le temps.
Le synopsis semble terriblement mélodramatique pour une comédie, j'en suis certain, mais l'humour mordant et contagieux de Nicholson ainsi que le charme habituel de Freeman donnent vie à cette histoire triste et parfois optimiste. Le dialogue manque un peu de spontanéité et les conversations philosophiques entre les deux protagonistes deviennent parfois ennuyantes. De plus, il est invraisemblable que deux hommes âgés atteints du cancer puissent avoir autant d'énergie pendant leurs voyages. La fin est touchante mais va un peu trop loin dans la sensiblerie, et la narration n'est pas vraiment nécessaire.
Malgré ces défauts, j'ai quand même aimé la mise en scène énergique de Rob Reiner et les deux vedettes s'amusent évidemment dans leurs rôles. La chimie entre Freeman et Nicholson est crédible jusqu'à la fin. Beverly Todd force l'admiration dans le rôle de la femme du mécanicien, qui est furieuse que son mari ignore ses traitements afin de poursuivre ses rêves «invraisemblables». Ne vous attendez pas à un film réaliste; plusieurs critiques ont même déploré le fait que le cancer semble si banal dans The Bucket List. Mais n'oublions pas que c'est un projet purement hollywoodien, et le message de rédemption et de paix intérieure peut émouvoir malgré les touches prétentieuses.
Affiche du film
Bande-annonce (sur Internet Movie Database)