(L'ÉVADÉ D'ALCATRAZ)
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Drame
1979. Réalisation: Donald (Don) Siegel. Avec: Clint Eastwood, Patrick McGoohan, Larry Hankin et Fred Ward. Scénario: Richard Tuggle. Couleur/1h52.
En 1962, le détenu Frank Morris (Eastwood) se fait incarcérer dans la prison haute sécurité Alcatraz. Il s'adapte graduellement à cet endroit où «personne n'a réussi à s'évader», comme le dit le directeur de prison. Frank fait la connaissance des autres prisonniers et échappe de justesse à un attentat qui aurait pu très mal tourner. Un jour, Frank se rend compte que le béton autour de la petite grille métallique de sa cellule se détériore de plus en plus. Pendant plusieurs mois et à l'aide d'ustensiles, Frank commence à gratter autour de cette grille dans le but de créer un trou plus large et sortir de sa cellule. Ses vieux copains, les frères John et Clarence Anglin, finissent par travailler avec Frank afin de planifier une évasion risquée mais méticuleuse.
Ce drame captivant adopte un style classique des années 1940-50, c'est-à-dire sans sensationnalisme ou excès de violence. Réalisé par Don Siegel (Dirty Harry/L'Inspecteur Harry, également mettant en vedette Clint Eastwood), Escape from Alcatraz est fort du côté technique ou intrigue mais les personnages demeurent un peu schématisés. On voit des éléments très connus pour ce genre de film comme le directeur de prison froid comme la glace ou le violeur menaçant dans les douches. Mais ce qui rend l'ensemble fascinant est le fait que cette histoire soit basée sur un fait vécu ainsi que sur un livre écrit par J. Campbell Bruce.
JE DÉVOILE DES DÉTAILS SUR LA FIN DU FILM À PARTIR D'ICI ...
L'élaboration d'une éventuelle évasion est ingénieusement montée, même si quelques détails entourant son exécution sont un peu flous. Vers la fin, on ne sait pas ce qui est réellement arrivé à ces hommes et leur sort demeure un mystère à ce jour.
Eastwood joue son rôle avec vigueur, comme il fait toujours dans ses films d'action, tandis que les décors de prison et le suspense demeurent remarquables. Le dialogue manque un peu de naturel à quelques reprises et des longueurs occasionnelles alourdissent l'entreprise, mais les interprètes jouent le jeu avec entrain et l'évasion finale est mémorable.
Affiche du film
Bande-annonce
1979. Réalisation: Donald (Don) Siegel. Avec: Clint Eastwood, Patrick McGoohan, Larry Hankin et Fred Ward. Scénario: Richard Tuggle. Couleur/1h52.
En 1962, le détenu Frank Morris (Eastwood) se fait incarcérer dans la prison haute sécurité Alcatraz. Il s'adapte graduellement à cet endroit où «personne n'a réussi à s'évader», comme le dit le directeur de prison. Frank fait la connaissance des autres prisonniers et échappe de justesse à un attentat qui aurait pu très mal tourner. Un jour, Frank se rend compte que le béton autour de la petite grille métallique de sa cellule se détériore de plus en plus. Pendant plusieurs mois et à l'aide d'ustensiles, Frank commence à gratter autour de cette grille dans le but de créer un trou plus large et sortir de sa cellule. Ses vieux copains, les frères John et Clarence Anglin, finissent par travailler avec Frank afin de planifier une évasion risquée mais méticuleuse.
Ce drame captivant adopte un style classique des années 1940-50, c'est-à-dire sans sensationnalisme ou excès de violence. Réalisé par Don Siegel (Dirty Harry/L'Inspecteur Harry, également mettant en vedette Clint Eastwood), Escape from Alcatraz est fort du côté technique ou intrigue mais les personnages demeurent un peu schématisés. On voit des éléments très connus pour ce genre de film comme le directeur de prison froid comme la glace ou le violeur menaçant dans les douches. Mais ce qui rend l'ensemble fascinant est le fait que cette histoire soit basée sur un fait vécu ainsi que sur un livre écrit par J. Campbell Bruce.
JE DÉVOILE DES DÉTAILS SUR LA FIN DU FILM À PARTIR D'ICI ...
L'élaboration d'une éventuelle évasion est ingénieusement montée, même si quelques détails entourant son exécution sont un peu flous. Vers la fin, on ne sait pas ce qui est réellement arrivé à ces hommes et leur sort demeure un mystère à ce jour.
Eastwood joue son rôle avec vigueur, comme il fait toujours dans ses films d'action, tandis que les décors de prison et le suspense demeurent remarquables. Le dialogue manque un peu de naturel à quelques reprises et des longueurs occasionnelles alourdissent l'entreprise, mais les interprètes jouent le jeu avec entrain et l'évasion finale est mémorable.
Affiche du film
Bande-annonce